Les jeunes sont-ils plus écoresponsables que les seniors ?
L’aspiration pour la maison individuelle est-elle exacerbée chez les familles ?
Désire-t-on vivre plus souvent en maison individuelle lorsqu’on est une famille nombreuse ?
L’isolement est-il plus important dans le rural ?
L’usage d’Internet est-il plus fréquent chez les plus pauvres ou les plus riches ?
Toutes ces questions impliquent de s’interroger sur les facteurs qui déterminent le plus fortement les choix opérés par les ménages bas-rhinois en matière de modes de vie aujourd’hui. Autrement dit, les modes d’habiter, de se déplacer, de travailler, de se divertir, etc.
L’analyse de ces déterminants, aux premiers rangs desquels l’âge, la structure familiale ou encore les revenus et le lieu de vie, permet d’une part de comprendre plus précisément ce qui fonde les aspirations des différents groupes sociaux. D’autre part, elle donne les moyens de relever les différences, les inégalités, voire les fractures susceptibles d’engendrer des exclusions sociales.
Ce sont donc là autant d’éclairages permettant d’identifier les leviers d’actions pour une meilleure prise en compte des aspirations des ménages, et donc de se doter d’une clé de réussite majeure pour les politiques publiques.